Un
« bref » compte rendu de cette première sortie de l’année qui nous a
permit de repartir de plus belle vers une saison « touristique » (et
sportive…) qui s’annonce assez fournie (cf. calendrier ) et prometteuse
de bons moments sur 2 roues !
Nous
étions une quinzaine dont une nouvelle venue Annie à nous retrouver au
point de rendez vous (je rappelle que c’est le « flunch » de la Rotonde
dorénavant) ce dimanche matin pour partir du coté de la côte Varoise où
bien entendu les mimosas n’attendaient que nous…
La
demi-heure de battement entre le rdv et le départ a été bien nécessaire
pour récupérer les Marseillais (souvent eux…) à la bourre et prendre le
temps (pour ceux qui étaient à l’heure J ) de boire l’incontournable café pré-départ.
Après
de brèves consignes (trop ne servent à rien, l’expérience me l’a
prouvé…) on « enquille » la N7 jusqu'à St. Maximin où l’on retrouve les
sœurs de Carnoux et les pôtes de Georges équipés de méchantes
sportives…aïe, aïe (sic) !
A Tourves on bifurque dir. la Roquebrussane avec les qq beaux virages qui
y mènent, avant même que je commence à chauffer un peu les gommes, 3 ou
4 missiles me déboitent, la tentation me guète mais ma passagère me
rappelle à l’ordre et je cède à la raison…rdv là haut sur le plateau !
Le
reste de la troupe suit bien fidèlement, on recolle à chaque
intersection mais les virages agissent comme un appel d’air à chaque
fois, je fini aussi par me laisser « appeler » dans la descente de
Puget, devenue maintenant une classique inévitable dans ce secteur…
Petite
pose au village pour se remettre de ses émotions et rassembler tout les
niveaux, puis dir. Collobrières (on est pas encore au bord de mer…) et
la traversée des Maures (assez rapide pour pas mal) avant d’arriver à
Grimaud où nous avons prévu la pause déjeuner.
Le
Clem’Bar nous attend, à l’intérieur cette fois et des « visiteurs » peu
communs qui à défaut de moto n’en partage pas moins l’esprit et la
convivialité…
Le
repas plus que copieux (et excellent j’ai trouvé) calme les appétits
les plus sérieux, la remontée sur les motos s’en est trouvée que plus
difficile mais passé les premiers km, la digestion s’étant mise en
marche c’était repartit !
Petite
anecdote, j’ai vu pour la première fois une roue avant « burner », il
faut dire qu’il y avait parmi nous un virtuose de la roue…arrière ;-) !
Direction
Bormes les Mimosas (on approche) où un « corso fleuri » (c’est bien la
saison en effet !) nous empêche qq peu d’approcher du centre, qu’à cela
ne tienne on va chercher les fameux végétaux dans les faubourgs où ils
poussent à peu prêt de partout…après une petite cueillette (peu
d’amateurs…) un petit tour au bord de la mer s’imposait et comme Sarko
ne nous avait pas invité à Brégançon, nous sommes allé à la plage de
l’Argentière mettre les pieds dans le sable.
L’heure
du retour est là, dir. la pompe à essence à la sortie de La Londe qui
aurait du être notre point de rassemblement si nous n’avions pas perdu
les retardataires (abonnés J)
qui ont eu toutes les peines à retrouver le bon chemin… Bref une bonne
demi heure après et être allé finalement les récupérer, il faut
maintenant se rentrer, certain(e)s ayant pris déjà le chemin le plus
court, nous optons quant à nous le retour par la vallée du Gapeau que
nous remontons jusqu’à Pierrefeu : tout le monde aura remarqué que nous
y étions passé à l’aller en arrivant certes de l’autre coté…
La
tentation de reprendre la spéciale de Puget (dans l’autre sens) est
grande mais il est déjà tard et l’appel du « sweet home » prend le
dessus. Le groupe s’étiole petit à petit au fur et à mesure que les
raccourcis se présentent et avant d’arriver sur Aix, j’effectue un
petit arrêt avec les « restants » pour se saluer comme il est de bon
ton.
Arrivée
aux portes d’Aix à 18h30, après une virée de presque 300 bornes, le
temps qq peu menaçant en début de journée s’est finalement bien arrangé
et l’équipe a (malgré qq cafouillages habituels…) plutôt bien
fonctionné. La prochaine est pour le 16 mars, direction la Camargue
(moins de virages…) et des coquillages au déjeuner !